Chez Jack Obonnes

Un jour normal, un de plus , passé à rien faire de la journée, comme tant d'autres depuis ton renvoi de la police...Alors que tu végètes à rien faire, t'entrainant depuis déja deux heures à faire des passes avec les cartes , la radio miteuse qui traine dans un coin t'annonce le flash-info de 11 heures.A ce moment, tu entends se rapprocher une musique de rap dans la rue , de plus en plus fort.A l'oreille, la voiture semble s'arrêter devant ton pavillon.Masquée en partie par le son poussé à fond, tu entends une voix dire:

"Yo, mec, t'es sûr que c'est ici qu'il crèche ton homme-chien...Ca craint......même dans le quartier c'est pas comme ça....c'est miteux ici...que dalle pour Nick...."
Une autre que tu connais répond
"Bien sûr c'est là...super fort le mec....des chiens qu'obéissent au doigt et à l'oeil......une épave le type,mais si j'te jure.....une ancienne flicaille...."
suivi de coups dans la porte branlante,faisant trembler les carreaux.La deuxième voix reprend
"Ho,Jack...Hey, mec , lève-toi!On vient pour un chien!"

Te levant pour aller ouvrir, tu vois à travers la porte en verre(le système de sécurité à deux portes qu'il y a en Amérique)qu'il s'agit de deux blacks,portant les couleurs d'un gang que tu connais:noir et rouge.Les pitbulls sont un gang d'afro-américains , branchés chiens en toute logique.Ils organisent des combats parfois et sont fiers de posséder le meilleur "combattant".Ce n'est pas à proprement parlé un gang majeur de la ville, ils sont plutôt connus pour des petites embrouilles bidon.Le premier, celui que tu connais, s'appelle Terence,il porte une barbe fine et un bandana aux couleurs du gang.
"V'là un pote, c'est un de la famille aussi... il s'appelle Philip...On cherche un chien pour un frère...Tu nous fait entrer mec ou on couche là?!"

Voilà leurs têtes , le premier est Terence, le deuxième Philip:

Jack lève la main en l'air, ce qui signifie pour les deux bergers allemands: "fermez vos geules et asseyez-vous". Ce qu'il font sans tarder. Il ouvre la porte, encadré par des amis calin. Le sdeux black peuvent avoir un doux parfum de pisse de chien et de poils humide qui leur remonte aux narines.

"Entre Terence. Et Philip, si tu es avec Terence tu peux peu aussi venir."

Il s'avance et retourne un des coussins du canapé pour ne faire tomber les embalages de piza et les canettes vides qui le jonchent. Il leur désigne celui-ci. Il se rend ensuite à la cuisine et sort trois bières. Il en lance une à chacun de ses invités avant de s'assoir face à eux. Il s'adresse à Terence.

" Je ne dois pas te demander la race... un bon vieux pitt comme d'hab? Là j'ai un prob. Comme je te l'ai déjà dit, il faut du temps pour former un chien. "

A ce moment, il claque des doigt et désigne un coin de la pièce. les deux bergers allemands s'y couchent directement. Il avale une gorgée de bière et poursuit.

"Je n'ai aucun chien formé pour le moment, enfin, pas avant un bon 15 jours. Ca dépend ce que tu veux en faire... Prendre un chiot et lui filer des coup de pieds au cul c'est facile mais le chien devient taré et risque de te boufer la geule ou celle d'un pote. Pour un combat ça peut suffir et je peux te donner ça d'ici quelques jours. Mais je me répette, pour un vrai chien sur lequel tu peux compter il me faut encore 15 jours."

Celui que tu ne connais pas inspecte littéralement du regard ton appartement.Le gars semble en perde toute sa contenance, il doit se demander où il est tombé...

L'autre lui, habitué, se pose sur la place que tu lui as fait:
"Non, mec c'est pas ça...En fait, on a un pote qui voudrait un chien, mais un bien à lui.On aurait besoin que tu nous accompagne pour aller choisir le chien et commencer le dressage derrière.C'est chez un gonze qui crèche à Woodstreet.Il parait qu'il a régulièrement des chiens,là il a de jeunes staff assez prometteurs à ce qui se dit...si t'es dispo on y va maintenant,on à la caisse juste devant."

En disant ça, le gars se prépare un petit joint et commence à le fumer tranquille.

Jack regarde le jeune garçon de son regard perdu alors qu'il parle. Il hoche évasivement de la tête. Il regarde le pétard du même air et répond calmement.

Terence, tu sais que je n'aime pas trop l'odeur!

Si il n'avait pas l'air aussi paumé, on aurait pu se demandé si il se foutait pas du monde. L'odeur du pétard est un délice par rapport aux effluves de la maison.


Ce n'est pas trop dans mon habitude de faire ça à domicile. En général je préfère faire ça ici. Enfin, je veux bien rencontrer ton gars et voir ça avec lui. Mais d'abord, c'est qui ton gars? il est bon payeur au moins?

Alors qu'il dit ceci, il part chercher son matériel derrière. Des jouets canins en tout genre, un manequin, une tenue de protection complète ainsi qu'un paquet de friandises pour animaux.

Entre deux bouffées le gars te répond, tout en lançant des ronds de fumée dans le plafond:
"T'inquiètes pas pour ça....c'est un mec du gang, il est clean j'te dis...mais c'est un jeune clébard qu'il veut, tu vois...pas un adulte débile qu'il va galérer avec...Allez, amène toi, on y va...Prends ton bardas si tu veux mais je doute que t'en ai besoin.On va juste chercher le clebs et après pas de souci, on te laisse le temps qu'il apprenne les rudiments...

Allez Philip, amène toi, on lève le camp"

L'autre sort à reculon, toujours l'air désabusé par ta piaule.

(HJ: tu peux les suivre avec ta caissse ou monter avec eux, je te laisse poster le trajet,jusqu'à l'arrivée)

Jack jette son matériel dans le canapé, laissant tout en fouilli. Il attrape les clés de son épave, "la vielle titine". De la belle mécanique! Une roue dégonflée depuis des semaines, des portières en état de vestiges, la vitre droite arrière calfeutrée avec un carton... Bref, pas le top des réceptions mondaines!

Pour embarquer dans son propre véhicule, il prétexte une course à faire en revenant de chez son commanditaire.

Les deux véhicules s'élncent dans la ville. Jack perd plusieurs fois la voiture de Trence de vue mais arrive à la ratraper en se fiant au caisson de basses qui résonne dans L.A. Il bifurquent à droite et arrivent à Woodstreet.

Apparemment le responsable du nom de la rue n'a pas le sens des réalités...ce qui est sûr, c'est que le bois en question a disparu depuis longtemps.Pas tout à fait aussi miteux que ton quartier, celui-ci n'est guère reluisant tout de même.Les pavillons se ressemblent tous, et sont séparés les uns des autres par des grillages, personne n'ayant pris la peine de faire pousser une haie.

Terence et Philip sortent de leur voiture et se dirigent vers la maison à la façade la plus glauque.Plusieurs fenêtres sont fermées par des planches de bois.Lorsqeu vous toquez à la porte, une voix vous gueule:
"Qui c'est?!Faites gaffe, j'suis armé!"

Terence se présente, et après plusieurs bruits de vérroux, la porte s'entrouvre, laissant apparaître un blanc d'une quarantaine d'année bien tassée, portant la barbe et une casquette d'un club de sport.Le type vous ouvre et vous laisse entrer,maintenat son fusil de chasse d'une seule main.Il prte une chemise canadienne rouge et un jean crado.Le vrai pecno dans toute sa splendeur...

"Vous venez pour les chiens, dit-il en reniflant bruyament...c'est par là..."

Jack suit le barbu jusqu'à son arrière cour. Il se penche sur une portée de jeunes staff et les observe attentivement. il les soulève un à un, les soupèse et retrousse leurs babines pour observer leurs machoires. Il en ressort un jeune mâle.

Celui-là possède une bonne dentition et est très massif. C'est un chien qui peu être transformé rapidement en arme.

Il se tourne vers le barbu à l'arme pendante. De son air toujours paumé, il cherche son regard.

La cible principale de ce chien? Humain ou animaux? Je veux dire: j'en fais une machine à tuer ingérable ou je le dresse à obéir et n'attaquer qu'en cas de demande?

Le gars tousse bruyamment, puis se racle la gorge avec l'élégance qui le caractèrise.
"C'que j'en sais moi?! c'est avec tes potes qui faut voir ça mec, moi j'ai juste des clebs à refourguer"Il crache par terre comme pour ponctuer la fin de sa phrase.

Du coin de l'oreille, tu entends les deux autres compères qui semblent venter leurs récents exploits...
"Mais ouais.......je lui ai dit.....trop bien foutue la gonzesse.....j'te jure, elle en revenait pas....."

Bon, les gars, le clébar c'est pour en faire quoi? je dois savoir comment bosser moi! Qu'est ce que vous comptez en foutre?

Il avait parlé relativement bas en se raprochant d'eux pour que le vendeur ne l'ai pas entendu. Si les autres n'avaient pas remarqué sa bêtise, il ne fallait surtout pas récidiver.

ha ouai, et c'est comme d'hab, la moitié maintenant et le reste quand je vous rend le chien transformé.

"Ca c'est Nick qui t'le dira le plus précisément, mais il veut un chien qui puisse être champion de combat.Tu vois, il a vu l'arène et tout...maintenant ça le botte, c'est pour ça qu'il veut un clebs...Pas de problème pour le règlement,et pis on te donnera de quoi le nourrir tant que tu le gardes chez toi...Bon dis nous quand t'as trouvé ,on a des trucs à faire nous , faut qu'on s'arrache!"

Le barbu revient vers les trois autres:
"Bon alors vous m'en prenez un ou quoi?!J'suis occupé moi..."Il remonte à nouveau bruyament vers son palais tout ce que son nez peut contenir.

Terence lui répond
"Oauis , ouais t'afolle pas...mon pote choisi, j'te règle le chien et on se casse...."

(Tu peux poster ton choix, votre départ et ton retour chez toi, sauf si tu veux causer à Tet P)

Jack sort le jeune mâle qu'il avait déjà repéré.

Celui-là! Et j'espère qu'il a l'âge d'être séparé de sa mère!



Les affaires se règlent à coup de billets passant de main. Il salue sommairement ses deux client et aute dans sa "poubelle mobile". Il prend la route de chez lui. Arrivé, il ne rentre pas dans sa demeure mais contourne celle-ci pour aller déposer le chiot dans une cage derrière. D'autres chiens, des molosses eux aussi, aboient sur le petit nouveau. Jack prend soin de ne lui donner aucune pâtée pour l'instant. Il s'assoie face à la cage et l'observe en silence pour juger de ses réactions.

Après de longues minutes de silence, il se lève et retourne chez lui battre ses cartes. Les billets qu'il vient de gagner lui démangent le fond de la poche. Il décide alors de remonter dans sa voiture et d'aller s'instaler à une table de jeu non-officielle des quartiers proches de chez lui.

La table la plus proche du taudis de Jack est situé non-loin, en allant vers little italy, un peu avant d'y entrer réellement.C'est un restau italien tenu par un type du nom de Arthur Fanzerelli.C'est un petit bouiboui sans prétention, pas trop crasseux pour le coin.L'enseigne est assez vive et sympa pour attirer quelques cleints, et l'intérieur assez sobre.Les nappes en papier à carreaux rouges renvoient au carrelage de la même couleur.La tabkle de jeu est dans l'arrière cuisine, là où l'on mange la meilleure cuisine du restaurant.
(Je te laisse poster ton arrivée là-bas, réception , jusqu'à l'arrière cuisine, tu es un habitué.Tu peux le mettre dans le quartier italien)

(Après le petit interlude chez Fanzerelli, on reprend ici)

Alors que la radio annonce le journal du soir, Jack entends une voiture se garer devant chez lui.Plusieurs bruits de portières se font entendre,différentes voix, puis des pas avant qu'on ne toque à la porte.

Le type qui est face à la porte est visiblement Tony Montana, le patron.Deux gorilles l'encadrent,et deux autres restent en faction devant la voiture, une limousine noire à vitre teintées.Les hommes de main sont tous en costards, tandis que Montana porte un col roulé fin, recouvert d'une veste de costume.Il porte une écharpe sur les épaules.Il semble entre deux âges, pas encore vieux mais plus vraiment dans la force de l'âge;il est brun, porte une barbe très courte taillée en bouc.Tout en lui inspire le respect et exprime la détermination,la totale confiance que cet homme doit avoir en lui.On dirait qu'il est déja le propriétaire des lieux.Il baisse les lunettes noires qu'il porte et demande, en pencahnt légèrement la tête vers son interlocuteur:

"Jack Obonnes?"

Voilà sa tête(et en guest star...Mr...)

Le contraste entre les deux hommes est flagrant. L'un inspire la crainte, l'autre la pitié. Leur face à face donne lieu à un tableau épique. jack, l'air un peu plus réveillé qu'à la normale ne semble pas vraiment impressioné (en tout cas en apparence).


Lui-même. Et vous devez être le bigboss.

Il se place sur le côté de la porte.

Entrez et faites comme chez vous. Et vos amis peuvent bien sur vous accompagner.

ll jette un regard rapide aux gardes du corps puis indique le sallon dans l'état qu'on lui connait.

Il se retourne vers ses hommes de main et leur dit,comme si Jack n'était pas là où n'avait rien dit:
"Vous, vous restez là les gars,vous surveillez et faites bien gaffe à ce qu'il n'y ait rien d'anormal..."

Il entre ,fait le tour de la pièce en te parlant:
"On m'a dit beaucoup de bien de vous,Jack.Autant vous dire que je suis un peu sceptique quand je vois comment vous tenez votre intérieur...Bon , asseyez-vous."
Il te désigne de la main ton propre canapé en face de lui,une proposition qui n'attends pas de refus,comme toutes celles que fait cet homme.Il se lance dans un petit discours,les quelques pauses ne semblant pas attendre de réponse.

"Bon, on a du vous le dire, j'aime bien savoir avec qui je travaille et à qui je peux faire confiance.Il parait que vous êtes un ancien flic...autant vous le dire, c'est pas non plus franchement un point positif...Mais, je ne demande qu'à être convaincu que je peux vous faire confiance.
Arthur et les autres ont insisté pour dire que c'était le cas,et ils se portent garants .
Alors, c'est le cas, je peux vous faire confiance?Je peux?Attention, il ne s'agit pas juste de relations, d'infos ou de choses comme ça, je parle de travailler avec nous, avec moi..."
Il s'arrête face à Jack, l'air interrogateur.

Jack s'était assis dans son canapé. il mit la main sur un vieux sachet de chips et en grgnota un ou deux pour s'aider à réfléchir. Il fit signe aux chiens de s'assoir dans l'autre coin de la pièce.

Ben, je ne dis pas que je suis un action man. Mais vous pouvez compter sur moi pour de spetits boulo. Pas du grand banditisme hein!

Jack jouait serré. Sa position d'entente relative entre les différents gangs et la police lui était utile et il ne voulait pas prendre réellement parti.

"Qui...qui a parlé de grand banditisme, je vous parle juste de...de ...prendre part à certaines de nos opérations.Il s'agit pas de grand banditisme!Ecoutez, je suis chargé de gérer un business, par des gens qui n'aiment pas trop quand les affaires capotent.C'est pas d'un "oui, mais" que j'ai besoin,faut me comprendre...j'ai besoin d'être sûr que je peux faire pleinement confiance à chacun de mes employés.Sinon,alors tout fout le camp..."
Alors qu'il dit ça, Tony fait preuve d'une évidente hypocrisie;il reprend, un peu plus calme:

"Bon, ok, je comprends que vous n'ayez pas nécessairement envie de vous investir totalement, de mettre tous les oeufs dans le même panier,mais je crois savoir que vous êtes redevable de certains ...services, envers certaines personnes travaillant pour moi,donc envers moi.Et je dois vous dire que je n'ai pas franchement l'habitude qu'on me dise non...En fait, j'ai pas souvenir que ça soit jamais arrivé...Ou plutôt du genre "Non, pitié, pitié, faites pas ça...",en gémissant et compagnie...Mais surement pas un refus!"

Il s'allume un cigare, en tire une bouffée qu'il éjecte par volutes dans le salon, puis reprend:
"Bon, voilà l'affaire, on a besoin de faire passer un camio dans, un autre état.Un camion qui contient des marchandises, qu'on n'aimerait pas voir confisquée.Et on m'a parlé de vos talents de dresseurs, pour ce qui touche aux chiens.Aussi j'ai pensé que,nous étant redevable de pas mal de choses, vous pourriez aider mes gars à faire en sorte que ce camion ne se fasse pas détectée par les maîtres chiensaux différents barrages."

Jack roule la tête en arrière et regarde le plafond quelques secondes avant de regarder de nouveau son interlocuteur.

Je prépare le camion, je donne les instructions aux convoyeurs et le matos pour tromper la douane après, à moins qu'ils aient des Q.I. d'huitres ça ne requiert pas ma présence. Je ne peux pas m'absenter trop longuement à cause des bestiaux.

Il ouvre grand les bras et lance, d'un air débonnaire complètement surfait:

"Voilà ce que je voulais entendre....c'est pas plus dur que ça! De toute façon, je ne comptais pas vous demander de monter avec la cargaison, il s'agit juste de conseiller mes hommes pour ...éviter d'éveiller les soupçons, notament ceux des chiens policiers."

Il a l'air manifestement plus content qu'au début de l'entrevue ,il continue de se promener, tout en contemplant ton intérieur.
"Bon...et bien voilà une affaire conclue...Nous voilà ensemble en business!Et ça ça veut dire beaucoup ;j'espère que vous n'oublierez pas ...

Bon, je ne vais pas vous dérangez plus longtemps...Rendez vous après demain, au resto de Fanzerelli, on vous présentera les gars concernés.
En attendant,voilà de quoi ...améliorer un peu l'intérieur..."

Il te tend une liasse de billet, puis lui et ses hommes de main lèvent le camp.(Je te laisse poster ton occupation jusqu'au lendemain où tu vas voir ton ami flic Josh).

Jack, depuis sa fenêtre, observe la voiture du boss disparître à l'horizon, le regard perdu dans le vide. Finalement, il va s'affaler sur le canapé. Un des chiens vient poser la tête sur sa jambe.

Fait chier celui-là! Comme si qu'il ne sait pas appliquer les consignesque je lui donne pour son bahut. Le plaisir de faire bouger le cul des gens.


Son regard se pose sur la liasse de billets qu'il avait déposé sur la table de salon d'un air absent. Estimant la valeur du paquet de bifetons qui s'étalait sous ses yeux.

Après quelques secondes, il va jetter quelques croquettes dans la gamelle des cabots et prend la voiture pour la nuit.

Après de longues heures éthiliques Jack revient chez luien compagnie d'une femme de joie que seul l'acool doit lui donner envie de payer et ne parlant pas un mot d'anglais.

Vers midid le lendemain, il se réveille seul avec les quelques malheureux dollars qu'il lui restent. Il est déjà temps de se rendre chez son ancien collègue. Il fait monter les chiens dans la voiture et se dirige direction la campagne toute proche.


(hj: je peux poster mon arrivée où?)

(HJ: désolé pour la lenteur de la réponse, je te laisse poster dans autres quartiers, c'est une grande ferme tenue par les parents de Josh,située pas très loin de la sortie de la ville,sans être à l'abandon, on voit bien que 2 personnes ne suffisent pas à la faire fonctionner correctement;c'est là que Josh se rend parfois le week-end)